Quand le PRG prend le bus, le moins que l'on puisse dire : ça barde !
Voulant tester l'efficacité des transports azuréens, le Parti Radical de Gauche, à envoyé une délégation sur la ligne 200 des bus TAM, reliant la ville de Nice à celle de Cannes. C'était le 9 juin dernier, en début de soirée.
Le patron azuréen du PRG, M. Jean-Christophe PICARD, n'en décolère toujours pas. Selon lui, " le bus de 21 h 05 ne passera jamais. Explication : comme il était déjà bondé, le chauffeur n’a pas pris la peine de passer par l’aéroport".
La délégation du PRG devra attendre 22 h 20 pour que le bus annoncé à 22 h 05 pointe le bout de son nez avec la même mention ... " Las, une des dix personnes qui patientaient à l’arrêt de bus depuis plus d’une heure craque et se met en travers de la route en vociférant : " nous voulons monter !" . Le chauffeur est ainsi contraint d’immobiliser son véhicule. Ses passagers, serrés comme des sardines, perdent leur sang froid à mesure que leur calvaire se prolonge. L’usager récalcitrant sera finalement ramené à la raison au bout de dix minutes ; le bus repartira donc à 22 h 30, sans être parvenu à prendre les passagers du terminal 1 qui sont laissés en rade !", relate Jean-Christophe PICARD, pour qui "cette situation ubuesque vient du fait que le nombre de bus n’est pas augmenté pendant la période estivale. Au final, la communication faite en boucle autour du tarif (1€) ne suffit pas à masquer les défaillances du réseau départemental de bus qui donnent une image désastreuse de la Côte d’Azur". |
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