Jacques Peyrat en route pour un troisième mandat

Comme chaque année, le parti politique local du maire de Nice, l'Entente Républicaine, fêtait hier après-midi sa traditionnelle fête de rentrée politique à la colline du Château.
Entouré de plusieurs élus municipaux
(André Barthe, Olivier Betatti, Cédric Cirasa, Micheline Baus, Jean-Claude Mari ...) et de plusieurs centaines de militants, Jacques Peyrat pense ne pas avoir démérité l'investiture de l'UMP.
Cette investiture, "je ne l'ai pas démérité. Mais s'il ne me l'accorde pas, je me lancerai quand même dans la bataille", répondant ainsi à Eric Ciotti, qui la veille sur France 3 plébiscitait une candidature de Christian Estrosi.
Fort de son bilan avec notamment l'enrayement de l'endettement de la ville de Nice, un tramway qui roule, une place Masséna entièrement rénovée et qui plaît au niçois, le maire de Nice, qui est aussi le président de la Communauté d'Agglomération de Nice Côte d'Azur (CANCA) profite de l'occasion pour rappeler qu'avec 480 millions d'euros la CANCA investit plus que le Conseil Général. Pour le sénateur-maire UMP de la cinquième ville de France, l'avenir de Nice c'est : une nouvelle mairie, une cour d'appel, une nouvelle prison dans la plaine du Var et surtout la Ligne Grande Vitesse qui relierait Paris à 3 h 30 de Nice.

0 commentaires: