Le silence des abeilles



JT du 28/01/08

National geographic Chanel présente en avant-première mondiale un remarquable documentaire en version numérique HD : "le silence des abeilles".
"Si l’abeille disparaissait de la surface du globe, l’espèce humaine n’aurait que 4 années à vivre… " et si cette phrase d’Einstein était une prédiction ? Depuis l’aube de l’humanité, l’histoire des abeilles accompagne celle de l’homme.

Or, ces 6 derniers mois, 80% des abeilles ont purement et simplement disparues aux Etats-Unis, et ce phénomène est vrai, dans des proportions variables, dans les autres pays du monde.

Le Silence des Abeilles s’interroge sur la disparition progressive des abeilles et nous interpelle sur ce qui pourrait s’avérer être une véritable catastrophe écologique.

A cette occasion la chaine lanceera la 3ème édition des Prix Micro-Environnement qui ont pour vocation de récompenser des actions déjà initiées par des associations, collectivités locales, établissements scolaires ou autres collectifs qui œuvrent en faveur de la protection de la faune et de la flore en France avec le soutien du Ministère de l’écologie et de Gaz de France.


http://www.lageode.fr/NEW/planeteGeode_soirees.html

Niçois : les mots de la semaine

Pantalon : braia ;

Apprendre : emparà ;

Courrier électronique : courrié eletrounic ou courriel ;

Coquin, ine : couquin,a

Brebis: fea ;

Réclamation : reclamacioun ;

Royaliste : realista ;

Le Fort de la Revère cédé à la Fondation Nicolas Hulot

Dis-moi, c'est quoi un puit de carbonne ?

Pollution maritime : M. Michel GRALL (UMP) propose un certificat de dégazage

Les transports par voie maritime ont considérablement augmenté depuis la fin de la Seconde guerre mondiale, ainsi que le nombre et la taille des navires. Parallèlement, le transport d’hydrocarbures par mer s’est fortement développé.

En 2006, plus de six milliards de tonnes de marchandises ont été transportés dans le monde par voie maritime. Au total, c’est environ 80 % des échanges transcontinentaux qui se font par voie maritime.

Il découle de cette hausse des transports maritimes une pollution accrue en mer, en particulier lors de naufrages de pétroliers près de nos côtes.

Chacun garde en mémoire les nombreuses catastrophes causées par les naufrages de pétroliers depuis la fin des années soixante. Les noms de Torrey Canyon en Grande-Bretagne, Exxon Valdez en Alaska, Amoco Cadiz au large des côtes bretonnes et plus récemment Erika et Prestige sont tous synonymes de " marées noires ", c’est-à-dire des pollutions catastrophiques dévastant les fragiles équilibres écologiques existants, mettant en difficultés les économies littorales. Depuis 1967, 40 marées noires ont été recensées, dont 6 ont touché les côtes françaises.

Malheureusement, ces accidents majeurs ne sont pas la seule source de pollution par les hydrocarbures en mer. Les déversements d’hydrocarbures rejetés volontairement par les navires lors de leur exploitation, plus connus sous le terme impropre de " dégazage ", sont très fréquents.

Beaucoup moins " médiatisée " que la pollution accidentelle causée par les naufrages des pétroliers, elle représente 2 millions de tonnes déversés annuellement, à comparer avec les 20 000 tonnes de l’Erika.

Les risques importants de pollution du milieu marin par ces rejets ont donc conduit les pouvoirs publics à prendre des mesures tant au niveau international que national.

Une convention internationale a été adoptée par de nombreux états, la convention MARPOL, complétée d’accords régionaux et de mesures prises dans les législations internes de chaque pays.

Malgré ce dispositif et l’instauration de systèmes de détection des pollutions maritimes par satellite, de nombreux déversements d’hydrocarbures ont encore lieu presque quotidiennement au large de nos côtes. Les navires " voyous " restent trop souvent impunis. Cette situation, jugée par tous inacceptable, doit être vigoureusement jugulée pour arrêter de mettre en danger le milieu marin.
C’est pourquoi, afin de lutter efficacement contre cette pollution intentionnelle, je propose que soit créé un certificat de dégazage délivré par un organisme français agréé.

+ d'infos : lire la proposition de loi du député.

Prospective sur l'évolution de la consommation énergétique mondiale d'ici à 2030, par J-C Victor



Arte "les dessous des cartes" par Jean-Christophe Victor

Crise financière : François HOLLANDE (PS) demande un débat au Palais Bourbon

La viédo-surveillance : la solution pour une ville propre ?

L'écologie dans les Alpes-Maritimes

L'association " Terre Bleue " organise une réunion publique ce soir de 18 h 30 à 20 h 30 à l'Hôtel Mercure - 28 avenue Notre Dame - sur le th§me : " L'écologie dans les Alpes-Maritimes : attentes, besoins, solutions". Renseignements au 04 93 81 90 28

Evacuation des terres dépolluées de Saint Jean d'Angély

La société Gaz de France a effectué des travaux de dépollution du site de son ancienne usine Nice Risso.

La réhabilitation du site a été réalisée suivant les dispositions prévues par trois arrêtés préfectoraux successifs instruits par la Direction Régionale de l'Industrie de la Recherche et de l'Environnement.

Conformément à l’usage prévu par ces arrêtés, la CANCA et la ville de Nice ont, depuis, entrepris des travaux d’excavation pour réaliser la plate-forme du tramway, les voiries de desserte et l’extension des réseaux publics.

Les terres qui ont été extraites du site, bien que conformes aux arrêtés de dépollution, contiennent pour certaines d’entre elles une charge polluante qu’il conviendra de traiter avant mise en décharge.

Ces terres ont donc été stockées sur place pour être caractérisées et analysées avant d’être évacuées vers des centres d’enfouissement ou décharges.

Par délibération n° 14.25, du 29 juin 2007, le Conseil Municipal a autorisé le lancement d’un appel d’offres ouvert " Quartier St Jean d’Angély : chargement et évacuation des terres issues des parcelles anciennement occupées par l’usine à gaz de Nice Risso ".

La ville de Nice procéde, depuis le 21 janvier 2008 et ce pour 2 mois, aux travaux d’évacuation de ces tas de terres issues des parcelles anciennement occupées par l’usine à gaz Nice Risso.

Le coût de cette opération est de 966 651.75 euros TTC.